Ça fait drôle d’être de l’autre côté de la clôture pour une fois. Habituellement, quand on reçoit des clients ou des collègues étrangers au bureau, il faut se parler en anglais, mais entre Québécois on se parle parfois en français pour mieux se comprendre. Donc, dans ce temps-là, nos collègues comprennent rien, mais là c’est le contraire, c’est moi qui ne peut pas suivre leurs discussions ! Une chose est certaine, c’est qu’on sent que toute personne se débrouille beaucoup mieux dans sa langue natale.